Dernière minute
Société
"Konguluma ya bébé sinonime ya kotambola te", à traduire par "La marche à quatre patres du bébé n'est pas synonyme de marcher", tranche la rue qui prête sa voix à un auteur anonyme.
Que dire de ''sinonime'' que notre source a écrit dans le message sur le pare-brise arrière du…
Culture
Forum éco
Enjeux de l’heure
Soulagement sur certains marchés de Kinshasa où les principaux produits ont commencé à baisser de prix. Une ronde effectuée hier jeudi à des lieux de négoce a montré que cette chute des prix n’est…
Étranger
China Media Group (CMG) a terminé l'enregistrement de son gala de la Fête de la Mi-automne 2025 à Deyang, dans la province du Sichuan, dans le sud-ouest de la Chine. L'événement est dé…
Nation
En République démocratique du Congo, le lien entre gouvernants et gouvernés semble s'être distendu, non par simple désaccord politique, mais par un vide plus profond : l'érosion de la morale dans…
Kinshasa : un élève déclenche une grenade lacrymogène
* Plusieurs hospitalisés à la suite de cet incident
Un incident grave a semé la panique le mardi 30 septembre à l'école Sabrina, située dans la commune de Mont-Ngafula, à Kinshasa. Selon un communiqué officiel de l'Inspection principale provinciale (IPP) de l'Éducation de la Lukunga, un élève de 4e année commerciale a déclenché une grenade lacrymogène dans la salle de classe. Le gaz libéré a immédiatement provoqué des troubles respiratoires et des malaises chez plusieurs élèves, plongeant l'établissement dans un climat de panique généralisée.
Grâce à l'intervention rapide du personnel scolaire et des services de secours, les victimes ont pu être prises en charge sans tarder. Huit enfants ont été admis aux Cliniques universitaires, quatre autres ont été conduits dans un centre médical voisin.
Les autorités rassurent que l'état de santé des élèves est désormais stable, et que la plupart d'entre eux devraient regagner leur domicile dans la soirée ou le lendemain soir. Informés en urgence, Les parents se sont précipités dans les centres hospitaliers pour suivre l'évolution de la situation.
Dans la foulée, une équipe d'enquête de l'IPP a été dépêchée sur place afin d'analyser les circonstances exactes de l'incident et de déterminer les responsabilités. L'élève à l'origine de l'acte a été immédiatement remis à la police pour répondre de ses actes devant la justice. L'Inspection provinciale a condamné avec fermeté cette intrusion de violence en milieu scolaire. Elle rappelle que l'école doit rester un lieu d'apprentissage sécurisé. L'Inspection principale provinciale promet des sanctions disciplinaires exemplaires et des poursuites judiciaires afin de décourager tout comportement similaire à l'avenir.
Pascal NDUYIRI