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" Bosepelaka nanga na elongi. Na mukongo botongaka nga !", traduit du lingala '' Vous m'appréciez en face. Derrière (moi), vous me critiquez !'' dénonce le messager du jour. Une dénonciation de la situation qui reflète la vie quotidienne de la société congolaise en particulier.…
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L’élection de la République démocratique du Congo et de la Somalie comme membres non permanents du Conseil de sécurité des Nations unies pour la période 2026-2027 continue de susciter des…
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Dans la soirée du 5 juin, le Président Xi Jinping a reçu l'appel téléphonique du Président américain Donald Trump.
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(Par l’évangéliste Colin NZOLANTIMA)
Les pensées pentecôtistes ont été à la base de la restauration et du développement des communautés. Actes 2:1 «Le jour de la Pentecôte, ils étaient tous…
Trump exhorte Netanyahu à être «raisonnable» en cas de différend avec la Turquie
Le président américain Donald Trump a dit au Premier ministre israélien qu’il “doit être raisonnable” dans tout différend qu’il pourrait avoir avec la Turquie, tout en saluant sa propre relation avec le président turc Recep Tayyip Erdogan.
«Tout problème que vous avez avec la Turquie, je pense pouvoir le résoudre. Je veux dire, tant que vous êtes raisonnable, vous devez être raisonnable. Nous devons tous l’être», a déclaré Trump devant les journalistes au Bureau ovale lors de sa rencontre avec Netanyahu.
«Bibi, si tu as un problème avec la Turquie, je pense vraiment que tu pourras le régler. Tu sais, j’ai une très, très bonne relation avec la Turquie et avec son dirigeant, et je pense qu’on pourra arranger ça. Donc, j’espère que ça ne posera pas de problème. Je ne pense pas que ce sera un problème», a-t-il ajouté, utilisant le surnom de Netanyahu.
Trump a affirmé avoir de «très bonnes relations» avec Erdogan, qu’il a décrit comme «un dur à cuire, très intelligent, et il a accompli quelque chose que personne d’autre n’a pu faire».
Une déclaration qu’il a faite en référence à sa conviction -exprimée dans des propos précédents- que la Turquie aurait orchestré la chute, en décembre dernier, de l’ancien dirigeant syrien Bachar al-Assad.
Trump avait déjà qualifié la Turquie de «bon pays» et Erdogan de «bon dirigeant».
TRT