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A travers des tournées à Kisangani et à Kinshasa : Les musiciens américains du groupe Opius Bliss ont exploré la musique congolaise
Le groupe américain « Opius Bliss » a au terme de son séjour en République démocratique du Congo, rencontré la presse, hier jeudi 6 juillet, au centre culturel américain. Après avoir livré des concerts et animé des ateliers, les artistes musiciens ont fait une restitution de leur séjour au pays de Lumumba. Les artistes américains ont déclaré que ces moments de partage d’expériences avec leur collègues congolais a été comme une sorte d’exploration.
Composé de Michelle Walker (chanteuse), Pete Smith (guitariste), Sean Fitzpatrick (pianiste), Michael O’Brien (basiste) et Sean Dixon (batteur), ce groupe musical originaire de New York, joue plusieurs genres musicaux en général, le jazz et le blues en particulier.
Durant leur séjour, les membres de « Opius Bliss » ont rencontré des musiciens congolais se trouvant à Kisangani et à Kinshasa. Ils ont pu de découvrir les musiciens congolais, leur musique, comment cette musique évolue, les points forts, faibles et les similitudes avec la musique américaine, les difficultés rencontrées pour son épanouissement.
Ces jazzmen ont, par ailleurs, fait savoir tout que la musique congolaise, en tant que racine, a donné naissance à presque toutes les musiques caribéennes. Sur le plan musical, le groupe a constaté qu’il y a une similitude avec des musiciens congolais c’est-à-dire que les deux pays partagent les mêmes challenges dans le domaine musical.
Besoin de formation, d’éducation
Toutefois, les Opius Bliss, ont déploré la préférence du parcours solo de la plupart des musiciens, plutôt qu’en groupe. Pour s’épanouir, les musiciens américains recommandent à leurs collègues congolais de se regrouper et fédérer leurs énergies et ressources. Ils ont aussi noté que des musiciens congolais sont plus confinés dans le pays et, de ce fait, ont des difficultés pour vivre les expériences avec des musiciens de divers horizons.
D’où ce besoin de formation, d’éducation. Ces artistes musiciens en provenance du pays de l’Oncle Sam ont, à cet effet, souligné la nécessité pour les deux parties (congolaise et américaine) d’aller à la rencontre d’autres artistes, explorer, découvrir d’autres sons, mélodies, afin de se compléter les uns, les autres.
La venue du groupe Opiud Blisd en RDC, entre dans le cadre d’un échange culturel initié par le département d’Etat américain. Arrivés depuis le 27 juin, les artistes américains jugent cette expérience bénéfique. Fyfy Solange TANGAMU