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Pas de performance avec une justice pauvre
12 novembre, 2024
A la clinique du Centre Financier de Kinshasa, « la justice congolaise passe au crible du « corps médical » de la République. Etalée sur le brancard du pavillon réservé aux patients alités, elle est l’objet de diagnostics des « médecins de tout acabit« .
Chacun, après examen de labo…
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Le Gouverneur de la ville-province de Kinshasa, Daniel Bumba Lubaki, a présidé une réunion ordinaire du Conseil des ministres du gouvernement provincial, tenue dans la salle de réunions de l’Hôtel…
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Marrakech – Le Maroc s’affirme, désormais, comme un catalyseur stratégique des partenariats Sud-Sud et joue, de ce fait, un rôle de pont naturel entre les différentes régions du continent et les…
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Sud-Kivu : plusieurs champs détruits après des fortes pluies à Kalehe
De fortes pluies, accompagnées des grêles ont détruit plusieurs champs du 19 au 21 mai dernier dans le groupement Mbinga-Nord, chefferie de Buhavu, territoire de Kalehe au Sud-Kivu.
Benjamin Mungazi, le président de la Nouvelle société civile congolaise dans cette contrée souligne que les dégâts sont énormes. Les populations locales sont ainsi exposées à une forte famine.
Selon lui, les localités comme Mukwidja, Kalangala, Muganzo, Kanenge et Sanzi sont les plus touchées par ces averses.
"De fortes pluies avec grêles ont endommagés plusieurs champs dans le groupement Mbinga-Nord. Ce plus les coins comme Kalangala, Muganzo, Sanzi, Kanenge et Mukwidja qui sont plus touchés. Les champs de maïs, des haricots et des manioc sont complètement détruits. Nous lançons un cri d'alarme aux organisations humanitaires et personnes de bonne volonté afin de soutenir la population aujourd'hui exposée à une forte famine suite à cette catastrophe", s'écrie Benjamin Mungazi.
Ces dégâts s'ajoutent à d'autres enregistrés toujours dans le même groupement il y a quelques jours. En date du 10 au 11 mai, des fortes pluies avaient secoué me centre de Kiniezire où plus de 51 maisons d'habitation étaient détruites, une église de la communauté CECA40 et l'institut Bulungu.
Richelieu BYAMANA