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"Mobali oyo asalaka baboyaka ye te !" entendez ''L'homme qui travaille, on le quitte pas''. La rue met en scène l'homme et la femme, particulièrement dans le cadre des relations qui les unissent. Il s'agit ici, pour l'homme du travail sans lequel il ne vaut aucun penny devant la femme. Que…
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Pas de performance avec une justice pauvre
12 novembre, 2024
A la clinique du Centre Financier de Kinshasa, « la justice congolaise passe au crible du « corps médical » de la République. Etalée sur le brancard du pavillon réservé aux patients alités, elle est l’objet de diagnostics des « médecins de tout acabit« .
Chacun, après examen de labo…
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* Le deuxième rendez-vous fixé pour ce vendredi.
Le ministre d’État en charge de la Justice et Garde des sceaux, Constant Mutamba, a été entendu ce mardi 3 juin 2025 par le Procureur…
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CGTN Français et BFM Business ont réalisé une émission spéciale intitulée « Le monde bouge, quelles opportunités pour la relation économique Chine-Europe ? », dans laquelle des invités ont discuté…
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En Ituri, des combats ont opposé depuis le 27 mai dernier sur le littoral du lac Albert les forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) aux miliciens de la Convention…
Lancement officiel au Nord-Kivu, malgré un contexte sécuritaire complexe
Les épreuves hors session de l'Examen d'État pour l'année scolaire 2024-2025 ont débuté ce lundi 2 juin sur l'ensemble du territoire de la République Démocratique du Congo.
À Beni, chef-lieu du Nord-Kivu, le lancement officiel a eu lieu au complexe scolaire MUSEKE, dans la commune de Ruwenzori. Le Commissaire Divisionnaire Louis Second Karawa, gouverneur adjoint de la province, a présidé la cérémonie, apportant des assurances quant au bon déroulement des épreuves malgré les défis sécuritaires.
Le gouverneur adjoint Karawa a affirmé que les examens se dérouleront sans problème sur toute l'étendue de la province, y compris dans les zones actuellement sous occupation des combattants de l'AFC/M23.
Il a souligné l'engagement du gouvernement et le soutien de partenaires tels que l'UNICEF, qui assurent le suivi pour garantir des conditions optimales aux candidats.
Selon lui, les efforts conjoints visent à ce que les élèves puissent composer "sans encombre", malgré le contexte particulier marqué par la présence de groupes armés dans une grande partie du Nord-Kivu.
Plus de 69 000 finalistes du secondaire sont attendus à ces épreuves dans l'ensemble de la province du Nord-Kivu. Plus spécifiquement, la province éducationnelle Nord-Kivu 2 compte plus de 30 000 candidats, comme l'a précisé Norbert Bisimwa, responsable de cette entité éducative.
La journée a démarré avec l'épreuve de dissertation, marquant le début de cette période cruciale pour l'avenir scolaire de ces jeunes.
Pascal NDUYIRI, au Nord-Kivu