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JB Kongolo envisage de fédérer les parties prenantes au processus électoral de 2023
« Je vais fédérer toutes les parties prenantes au processus électoral de 2023 autour d’un idéal démocratique dont la RDC a besoin « , affirme Jean-Bonheur Kongolo, candidat à la succession de Corneille Nangaa à la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Au cours d’un échange avec la presse, il promet, une fois élu, de « relever les défis de la dignité, de l’appropriation de la démocratie par les Congolais, le défi des élections transparentes et apaisées à tous les niveaux ainsi que d’une gestion de la Centrale électorale à la hauteur de ses ambitions démocratiques.
« Je reste candidat à la succession de Corneille Nangaa. Les confessions religieuses m’ont porté comme candidat et l’examen des dossiers que j’ai déposés est en cours« , a révélé J.B. Kongolo.
Qu’est-ce qui pousserait les chefs des confessions religieuses à vous porter à la tête de la Centrale électorale ? A cette question, il répond en ces termes: » j’ai 14 ans d’expérience professionnelle en matière de la gouvernance électorale, des droits de l’homme et appui institutionnel auprès des institutions internationales crédibles basées en RDC et en Afrique, mais aussi j’ai une personnalité qui n’est pas conflictuelle. J’ai les atouts que ça soit en compétences professionnelles ou en réseaux des animateurs, sur le plan politique, société civile et la communauté internationale « .
Porté par les confessions religieuses, ce membre de la société civile est un activiste de la gouvernance électorale, des droits de l’homme et appui institutionnel, fort d’une expérience professionnelle de 14 ans dans les institutions internationales « crédibles » en RDC et Afrique, Jean-Bonheur Kongolo, dit « JBK« , veut appuyer les réformes électorales en cours. » Il est vrai qu’il y a eu beaucoup de rapports des missions d’observation qui ont soulevé des préoccupations importantes qu’il fallait nécessairement résoudre avant 2023. Ça ne pouvait qu’arriver à des réformes. La décision de l’Assemblée nationale de mettre dans son agenda de mars ces réformes est très importante « , reconnait-il.
Pour ce candidat président de la Centrale électorale, « nous aimerions que les réformes liées à la gouvernance de la CENI soient priorisées, parce qu’il fallait renouveler les animateurs de la CENI, afin de leur donner le temps de travailler avant de continuer la suite des réformes« .
« Il y a des réformes qui seront réalisées à long terme et d’autres à court terme. L’idéal c’est de ne pas piétiner l’ordre constitutionnel. Raison pour laquelle tout le monde est d’accord que nous puissions privilégier d’abord les réformes à court terme et les réformes à long terme seront réalisées plus tard« , souligne-t-il, par rapport au timing restant avant 2023.
Rachidi MABANDU