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Les proches de Fatshi tombent un à un : à qui sera le prochain tour ? 19 juin, 2025 Un malaise subtil mais perceptible s'installe dans les couloirs du pouvoir à Kinshasa. Récemment, les personnalités de confiance qui ont entouré le président Félix Tshisekedi semblent disparaître de la scène les unes après les autres. La question que personne n'ose vraiment éviter se pose aujourd'hu…

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Pourquoi les chrétiens ont-ils échoué ?

 

Chrétien affermi, évangéliste engagé, Colin Nzolantima s’interroge sur les raisons des échecs des chrétiens dans le monde politique et dans nombre de secteurs de la société (économie…

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Majorité et Opposition s’accordent, enfin, sur la répartition des commissions 

«Avec la sagesse du président Mboso, le bureau a travaillé jusqu’à ce qu’un consensus ait été trouvé. Actuellement, l’Assemblée nationale compte dix commissions et un comité des sages. Après échanges, l’opposition a hérité de quatre commissions et la majorité en a sept», a déclaré le rapporteur de la Chambre basse du Parlement, au terme de la conférence des groupes parlementaires et des commissions, hier mercredi 5 mai au Palais du peuple.

«Nous saluons ici, la volonté, le patriotisme de nos collègues de l’opposition qui ont accepté de pouvoir marcher ensemble avec la Majorité. Une commission mixte a été mise sur pied pour travailler sur les affectations des députés à différents postes dans les commissions», a indiqué le rapporteur Joseph Lembi, qui, à la même occasion, a annoncé la tenue d’une plénière ce jeudi 6 mai 202. «La semaine prochaine, les plénières vont se succéder parce que le bureau est en ordre en ce qui concerne la distribution des documents de travail aux députés», s’est-il félicité. 

Au cours de la conférence des Présidents, il était question  de se  concerter à l’issue de la reconfiguration de la majorité au sein de l’institution parlementaire, laquelle a donné lieu à la réorganisation des groupes parlementaires et la reconstitution des commissions, a encore dit le rapporteur de l’Assemblée nationale. Selon lui, cette question a fait l’objet d’un débat depuis l’ouverture, le 15 mars dernier, de la session ordinaire en cours, la première de l’année 2021. Il était temps que nous puissions la vider», a-t-il évoqué. 

Les échanges entre les députés nationaux de l’opposition et ceux de la nouvelle majorité ont eu lieu dans la sérénité. Comme quoi, il y a un temps pour tout. S’il y a un temps pour la guerre, il y en a sans doute pour la paix.

Mathy MUSAU