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Un drame s’est produit dans la journée d’hier mardi 11 novembre dans le territoire de Nyunzu. Trois personnes ont été tuées lors d’une incursion d’un groupe de bandits se réclamant de Wazalendo dans une concession minière exploitée par des ressortissants chinois, au Tanganyika.
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Quarante ans après la visite historique du président israélien Chaim Herzog, son fils et successeur à la magistrature suprême de l’État d’Israël, Isaac Herzog, a foulé hier mardi le sol congolais…
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Sur Ordre de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, une réunion présidée par les Conseillers de Sa Majesté le Roi, MM. Taib Fassi Fihri, Omar Azziman et Fouad Ali El Himma, a eu lieu lundi 10 novembre…
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Chrétien affermi, évangéliste engagé, Colin Nzolantima s’interroge sur les raisons des échecs des chrétiens dans le monde politique et dans nombre de secteurs de la société (économie…
Patrick Muyaya : "Le monde a vu, l'ennemi de la paix, c'est Paul Kagame"
L'échec de la tripartite prévue hier dimanche 15 décembre, à Luanda entre les présidents Félix-Antoine Tshisekedi, Paul Kagame (Rwanda) et João Lourenço (Angola), a provoqué de vives réactions de Kinshasa. Le porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya, a condamné l'attitude du président rwandais et a affirmé que le monde entier a vu noir sur blanc que c'est Kagame qui est l'ennemi de la paix.
Le porte-parole du Gouvernement congolais, a vivement dénoncé le refus de la délégation rwandaise de participer au sommet, qualifiant cette absence de "politique de la chaise vide".
"Le monde entier a constaté aujourd'hui que l'ennemi de la paix dans les Grands Lacs s'appelle Paul Kagame", a indiqué Muyaya. Il a ajouté que le Rwanda montre "sans ambages son incapacité à œuvrer pour le retour de la paix".
Kinshasa maintient sa position de ne jamais négocier directement avec le M23, qualifié de groupe "terroriste".
Lors de son grand oral sur l'état de la nation le 11 décembre devant le Parlement réuni en Congrès, Félix-Antoine Tshisekedi avait accusé le Rwanda de "repeuplement prémédité" dans les zones sous contrôle du M23, ce qu'il considère comme une tentative de redessiner la composition démographique de ces territoires.
La situation dans l'est de la RDC reste tendue voire critique. Le M23 contrôle désormais de vastes zones dans les territoires de Masisi, Rutshuru et Lubero, doublant sa présence territoriale depuis 2012, selon un rapport présenté par Bintou Keita au Conseil de sécurité de l'Organisation des nations unies (Onu).
Gloire BATOMENE